EDITO : Le train voyageur, Un symbole
La remise en circulation du train voyageur au Burkina Faso le 17 novembre 2023 est une nouvelle qui a suscité espoir et optimisme à travers tout le pays des Hommes intègres.
Mythique et historique, il présente plusieurs opportunités pour les populations burkinabè. Tout d'abord, le train constitue une alternative de transport à coût accessible pour les citoyens, en particulier ceux qui vivent dans les zones rurales longeant le chemin de fer.
De plus, le « voyageur » contribue à désengorger les routes, à réduire l’insécurité routière et la pression sur l'environnement. En encourageant le recours au transport ferroviaire, le Gouvernement du Burkina Faso s'inscrit dans une démarche de développement durable, visant à préserver les ressources naturelles et à limiter les émissions de gaz à effet de serre.
Il faudra bien sûr, investir dans la modernisation des infrastructures et du matériel roulant, pour offrir plus de confort aux usagers et rendre plus compétitif ce mode de transport.
Sur le plan économique, le train voyageur stimule les échanges commerciaux et renforce l'intégration régionale. Il constitue également un facteur de développement touristique pour notre pays.
Bien entendu, la reprise du train voyageurs de Ouagadougou à Niangoloko laisse un goût d’inachevé. En effet, cette liaison ferroviaire historique, en sommeil pendant 3 ans pour raison de COVID 19, a longtemps été le fil conducteur d’une activité commerciale variée qui a boosté le développement économique et social des localités desservies.
Le principal défi, c’est de travailler à lever les obstacles qui empêchent le train de relier les capitales burkinabè et ivoirienne.
D’ores et déjà, le gouvernement travaille à renforcer la sécurité à tous les niveaux.
Des efforts sont fournis pour assurer la connectivité avec les bus et les taxis, afin de faciliter les déplacements intermodaux pour les passagers dans les grandes villes desservies.
Le train n'est pas seulement un moyen de transport du passé, c’est aussi un pilier indispensable pour réinventer un avenir plus durable et inclusif. En repensant et en réinventant le chemin de fer, nous pouvons répondre aux défis de notre temps et offrir des solutions de mobilité qui respectent les besoins des voyageurs.
La remise en circulation du train voyageur au Burkina Faso le 17 novembre 2023 est une nouvelle qui a suscité espoir et optimisme à travers tout le pays des Hommes intègres.
Mythique et historique, il présente plusieurs opportunités pour les populations burkinabè. Tout d'abord, le train constitue une alternative de transport à coût accessible pour les citoyens, en particulier ceux qui vivent dans les zones rurales longeant le chemin de fer.
De plus, le « voyageur » contribue à désengorger les routes, à réduire l’insécurité routière et la pression sur l'environnement. En encourageant le recours au transport ferroviaire, le Gouvernement du Burkina Faso s'inscrit dans une démarche de développement durable, visant à préserver les ressources naturelles et à limiter les émissions de gaz à effet de serre.
Il faudra bien sûr, investir dans la modernisation des infrastructures et du matériel roulant, pour offrir plus de confort aux usagers et rendre plus compétitif ce mode de transport.
Sur le plan économique, le train voyageur stimule les échanges commerciaux et renforce l'intégration régionale. Il constitue également un facteur de développement touristique pour notre pays.
Bien entendu, la reprise du train voyageurs de Ouagadougou à Niangoloko laisse un goût d’inachevé. En effet, cette liaison ferroviaire historique, en sommeil pendant 3 ans pour raison de COVID 19, a longtemps été le fil conducteur d’une activité commerciale variée qui a boosté le développement économique et social des localités desservies.
Le principal défi, c’est de travailler à lever les obstacles qui empêchent le train de relier les capitales burkinabè et ivoirienne.
D’ores et déjà, le gouvernement travaille à renforcer la sécurité à tous les niveaux.
Des efforts sont fournis pour assurer la connectivité avec les bus et les taxis, afin de faciliter les déplacements intermodaux pour les passagers dans les grandes villes desservies.
Le train n'est pas seulement un moyen de transport du passé, c’est aussi un pilier indispensable pour réinventer un avenir plus durable et inclusif. En repensant et en réinventant le chemin de fer, nous pouvons répondre aux défis de notre temps et offrir des solutions de mobilité qui respectent les besoins des voyageurs.
La remise en circulation du train voyageur au Burkina Faso le 17 novembre 2023 est une nouvelle qui a suscité espoir et optimisme à travers tout le pays des Hommes intègres.
Mythique et historique, il présente plusieurs opportunités pour les populations burkinabè. Tout d'abord, le train constitue une alternative de transport à coût accessible pour les citoyens, en particulier ceux qui vivent dans les zones rurales longeant le chemin de fer.
De plus, le « voyageur » contribue à désengorger les routes, à réduire l’insécurité routière et la pression sur l'environnement. En encourageant le recours au transport ferroviaire, le Gouvernement du Burkina Faso s'inscrit dans une démarche de développement durable, visant à préserver les ressources naturelles et à limiter les émissions de gaz à effet de serre.
Il faudra bien sûr, investir dans la modernisation des infrastructures et du matériel roulant, pour offrir plus de confort aux usagers et rendre plus compétitif ce mode de transport.
Sur le plan économique, le train voyageur stimule les échanges commerciaux et renforce l'intégration régionale. Il constitue également un facteur de développement touristique pour notre pays.
Bien entendu, la reprise du train voyageurs de Ouagadougou à Niangoloko laisse un goût d’inachevé. En effet, cette liaison ferroviaire historique, en sommeil pendant 3 ans pour raison de COVID 19, a longtemps été le fil conducteur d’une activité commerciale variée qui a boosté le développement économique et social des localités desservies.
Le principal défi, c’est de travailler à lever les obstacles qui empêchent le train de relier les capitales burkinabè et ivoirienne.
D’ores et déjà, le gouvernement travaille à renforcer la sécurité à tous les niveaux.
Des efforts sont fournis pour assurer la connectivité avec les bus et les taxis, afin de faciliter les déplacements intermodaux pour les passagers dans les grandes villes desservies.
Le train n'est pas seulement un moyen de transport du passé, c’est aussi un pilier indispensable pour réinventer un avenir plus durable et inclusif. En repensant et en réinventant le chemin de fer, nous pouvons répondre aux défis de notre temps et offrir des solutions de mobilité qui respectent les besoins des voyageurs.
La remise en circulation du train voyageur au Burkina Faso le 17 novembre 2023 est une nouvelle qui a suscité espoir et optimisme à travers tout le pays des Hommes intègres.
Mythique et historique, il présente plusieurs opportunités pour les populations burkinabè. Tout d'abord, le train constitue une alternative de transport à coût accessible pour les citoyens, en particulier ceux qui vivent dans les zones rurales longeant le chemin de fer.
De plus, le « voyageur » contribue à désengorger les routes, à réduire l’insécurité routière et la pression sur l'environnement. En encourageant le recours au transport ferroviaire, le Gouvernement du Burkina Faso s'inscrit dans une démarche de développement durable, visant à préserver les ressources naturelles et à limiter les émissions de gaz à effet de serre.
Il faudra bien sûr, investir dans la modernisation des infrastructures et du matériel roulant, pour offrir plus de confort aux usagers et rendre plus compétitif ce mode de transport.
Sur le plan économique, le train voyageur stimule les échanges commerciaux et renforce l'intégration régionale. Il constitue également un facteur de développement touristique pour notre pays.
Bien entendu, la reprise du train voyageurs de Ouagadougou à Niangoloko laisse un goût d’inachevé. En effet, cette liaison ferroviaire historique, en sommeil pendant 3 ans pour raison de COVID 19, a longtemps été le fil conducteur d’une activité commerciale variée qui a boosté le développement économique et social des localités desservies.
Le principal défi, c’est de travailler à lever les obstacles qui empêchent le train de relier les capitales burkinabè et ivoirienne.
D’ores et déjà, le gouvernement travaille à renforcer la sécurité à tous les niveaux.
Des efforts sont fournis pour assurer la connectivité avec les bus et les taxis, afin de faciliter les déplacements intermodaux pour les passagers dans les grandes villes desservies.
Le train n'est pas seulement un moyen de transport du passé, c’est aussi un pilier indispensable pour réinventer un avenir plus durable et inclusif. En repensant et en réinventant le chemin de fer, nous pouvons répondre aux défis de notre temps et offrir des solutions de mobilité qui respectent les besoins des voyageurs.
La remise en circulation du train voyageur au Burkina Faso le 17 novembre 2023 est une nouvelle qui a suscité espoir et optimisme à travers tout le pays des Hommes intègres.
Mythique et historique, il présente plusieurs opportunités pour les populations burkinabè. Tout d'abord, le train constitue une alternative de transport à coût accessible pour les citoyens, en particulier ceux qui vivent dans les zones rurales longeant le chemin de fer.
De plus, le « voyageur » contribue à désengorger les routes, à réduire l’insécurité routière et la pression sur l'environnement. En encourageant le recours au transport ferroviaire, le Gouvernement du Burkina Faso s'inscrit dans une démarche de développement durable, visant à préserver les ressources naturelles et à limiter les émissions de gaz à effet de serre.
Il faudra bien sûr, investir dans la modernisation des infrastructures et du matériel roulant, pour offrir plus de confort aux usagers et rendre plus compétitif ce mode de transport.
Sur le plan économique, le train voyageur stimule les échanges commerciaux et renforce l'intégration régionale. Il constitue également un facteur de développement touristique pour notre pays.
Bien entendu, la reprise du train voyageurs de Ouagadougou à Niangoloko laisse un goût d’inachevé. En effet, cette liaison ferroviaire historique, en sommeil pendant 3 ans pour raison de COVID 19, a longtemps été le fil conducteur d’une activité commerciale variée qui a boosté le développement économique et social des localités desservies.
Le principal défi, c’est de travailler à lever les obstacles qui empêchent le train de relier les capitales burkinabè et ivoirienne.
D’ores et déjà, le gouvernement travaille à renforcer la sécurité à tous les niveaux.
Des efforts sont fournis pour assurer la connectivité avec les bus et les taxis, afin de faciliter les déplacements intermodaux pour les passagers dans les grandes villes desservies.
Le train n'est pas seulement un moyen de transport du passé, c’est aussi un pilier indispensable pour réinventer un avenir plus durable et inclusif. En repensant et en réinventant le chemin de fer, nous pouvons répondre aux défis de notre temps et offrir des solutions de mobilité qui respectent les besoins des voyageurs.
Anûuyirtole Roland SOMDA